L'étiquetage environnemental sur les produits qui ne consomment pas d'énergie mais qui ont une "incidence indirecte" sur l'économie d'énergie, comme les vitres, les châssis de fenêtres ou les portes externes deviendra obligatoire dès juillet 2011 (Directive 2010/30/UE du Parlement Européen et du Conseil). Bel'M a décidé de franchir une nouvelle étape dans le mise en avant de la performance environnementale de ses produits en adoptant, dès maintenant, l'étiquetage environnemental.
Chaque produit est noté sur la base de huit indicateurs adaptés aux exigences de la menuiserie : ressource et origine, consommation d'énergie, réchauffement climatique global, toxicité, affaiblissement acoustique, étanchéité à l'air, recyclabilité. Une note environnementale est ensuite attribuée, ainsi qu'un indice pour chaque grande étape du cycle de vie du produit : fabrication, usage et fin de vie.
Deux ans de recherche auront été nécessaires à la mise en place de ce projet pour lequel l'industriel s'est appuyé sur le CSTB (Centre Scientifique et Technique du Bâtiment) qui a réalisé les revus critiques des analyses de cycle de vie (ACV). "La connaissance de l'impact de nos produits, nous permet d'améliorer constamment leurs performances environnementales", explique Emilie Bouchez, Responsable R&D / Eco-conception chez Bel'm. Une belle avancée dans le secteur de la menuiserie, qui devrait sans aucun doute faire des émules.