Cellumat mise sur la prescription

Béton cellulaire -

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Malgré la crise, Cellumat, numéro 2 du béton cellulaire, a vu son chiffre d’affaires progresser de 14 % en 2013 (19,4 millions d’euros). Six ans après son arrivée sur ce marché très fermé, la société revendique 1 300 clients négociants. Elle a injecté 6 millions d’euros dans son usine de Saint-Saulve (Nord) depuis deux ans et annonce de nouveaux investissements cette année, dont la création d’une capacité de recyclage. « Nous avons pratiquement atteint notre objectif de 25 % de parts de marché en France et en Belgique, se félicite Pascal Stasiak, directeur commercial. Et nous allons augmenter nos ventes grâce au développement de la solution béton cellulaire, qui nécessite moins d’entretien et réduit le besoin en chauffage. Cela implique une présence renforcée auprès de la prescription. » Deux salariés travaillent à plein-temps dans la cellule prescription, en soutien des 15 commerciaux terrain. Première cible : les bailleurs sociaux. Cellumat mise aussi sur son système Gyga-Sys (utilisation d’armatures intermédiaires pour accentuer les qualités mécaniques des constructions, combinée à une petite grue démontable pour soulever les blocs de grande taille) pour convaincre les constructeurs. A la clé, « une promesse de rendement (6 à 7 m² posés/h) et une pénibilité limitée ».

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