Rénovation d’un système d’isolation par l’extérieur datant du siècle dernier
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Bardage en terre cuite Le bardage en terre cuite a été posé après le remplacement des menuiseries extérieures en PVC, posées en applique extérieure du mur béton.
Laine de verre additionnelle et bardage en terre cuite Revêtus initialement d’un enduit mince sur isolant en polystyrène de 60 mm, les murs en maçonnerie ont été recouverts de 120 mm (R=3.4) de laine de verre additionnelle et d’un bardage en terre cuite. Les ossatures et les fixations de la laine de verre sont accrochées à la structure béton de l’immeuble à l’aide de fixations spécifiques.
Inertie thermique En créant une inertie thermique, la terre cuite aide à la stabilisation des températures intérieures été comme en hiver.
Bardeaux de terre cuite L’architecte du projet de réhabilitation a aussi retenu les bardeaux de terre cuite pour leurs dimensions allongées et leurs nombreuses possibilités de calepinage, donc d'effets architecturaux. Autre avantage : la facilité de remplacement en cas de casse. (11h45 - Midi Moins le Quart)
Isolation acoustique Cette réhabilitation avait également pour objectif de renforcer l’isolation acoustique des immeubles construits près d’un aéroport. Le bardage en terre cuite et l’ITE, en complément de menuiseries spécifique, assurent une partie de ce renforcement. (11h45 - Midi Moins le Quart)
Harmonie des couleurs L’architecte a choisi la couleur brique en harmonie avec le vert du parc et de la végétation. « Cette couleur orangée reste lumineuse même par temps de pluie et égaye les bâtiments ». (11h45 - Midi Moins le Quart)
Ancienne façade des années 50 L’ancienne façade des années 50 était composée de 6 cm de polystyrène et de panneaux de façade en béton préfabriqué.
Découvrez le témoignage de Sandrine Porterie qui nous partage son parcours au sein du Groupe et nous plonge au cœur de l’agence d’Aix-en-Provence qu’elle dirige aujourd’hui.