En vigueur dès octobre dans le non-résidentiel, la nouvelle réglementation thermique provoquerait, selon le cabinet Xerfi, un surcoût de 15 à 20 %, soit le double du montant annoncé par les pouvoirs publics. Le prix des produits innovants, le recours à des employés qualifiés et, en amont, aux architectes figurent parmi les causes de surcoût avancées.
